D'aucuns pourraient se demander ce que Strasbourg, bien que capitale européenne, vient faire dans l'histoire. Quels rapports peut-il bien y avoir entre la cité alsacienne et New York City ? En dehors des b(p)retzels, bien entendu. Bof, assez peu finalement, si ce n'est que, comme chaque année, le festival de musiques électroniques Ososphère a acueilli son lot de New-Yorkais.
Cette année, les charmantes demoiselles d'Au Revoir Simone étaient là. Leur concert à La Laiterie s'est révélé plus abouti que celui auquel j'avais pu assister à Union Pool à Brooklyn, et l'interview qu'elles m'ont accordée (soon on electionsong) a confirmé ma théorie de l'époque...
De son côté, Fredo Viola a pu découvrir la ferveur du public strasbourgeois, surtout quand il s'agit de boire (et de secouer des vans remplis d'artistes et d'équipement). Lui et ses musiciens étaient quelque peu inquiets de jouer à minuit, heure à laquelle les autres salles du lieu s'étaient largement tournées vers l'electro-rock, la house, bref, vers des beats un tantinet plus agressifs. Un Sad Song a capella permettra d'ailleurs eu public d'apprécier la musique de la salle d'à côté... Mais au final, Fredo a conquis le public, et le public a conquis Fredo...
Pour ceux qui n'y étaient pas (ou pour ceux qui étaient en train de mater les nichons de Sexy Sushi), allez faire un tour par là.
Sinon, il y avait aussi Raekwon, ex-Wu Tang Clan, mais je suis arrivée trop tard et j'ai raté le concert... Ce sont des choses qui arrivent...
jeudi 1 octobre 2009
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